SPIELACT
L’écologie de l’imaginaire fonctionne comme une conférence-performance d’anticipation suivie d'un apéro-workshop.
Nous sommes en 2072. Les archives sonores et visuelles des années 20 – celles de l’époque que nous vivons- constituent le matériau de cette balade virtuelle dirigée par des intelligences artificielles. Un jeu avec le temps pour réfléchir sur notre présent.
Daniel Maszkowicz
L’écologie de l’imaginaire fonctionne comme une conférence-performance d’anticipation suivie d'un apéro-workshop.
Nous sommes en 2072. Les archives sonores et visuelles des années 20 – celles de l’époque que nous vivons- constituent le matériau de cette balade virtuelle dirigée par des intelligences artificielles. Un jeu avec le temps pour réfléchir sur notre présent.
Daniel Maszkowicz
5ème Edition 28.06 - 16.07.23
AURELIE MENALDO
CRASSIER
Installation
30 SEPTEMBRE – 4 OCTOBRE
Vernissage le 30 SEPTEMBRE de 18h à 21h
@Spielraum

Solides et fragiles, sales et brillantes, les briquettes de lignite au titre prometteur UNION s’emboîtent pour construire le Crassier. Amas organisé de parallélogrammes noirs, il se dresse comme un volcan éteint aux cendres préservées. Cette montagne géométrique s’organise telle un château-fort pour permettre au regardeur de le découvrir par ses frontières, sans pouvoir y pénétrer.
Convoquant autant l’enfant et ses jeux de construction que les paysages brulés du désert, le Crassier prend l’espace dans lequel il s’insère pour mieux le refroidir et le transformer.
1000 briquettes de lignite Union, 290 x 290 x 88 cm
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Aurélie Menaldo étudie aux Ecoles Nationales des Beaux-Arts de Lyon et de la Villa Arson, à Nice, où elle obtient son diplôme en 2008. Cette même année, elle effectue une résidence à l’Ecole Nationale de photographie d’Arles et remporte le concours Neuflize Vie qui la récompense pour son travail photographique. La pratique artistique d’Aurélie s’est développée au contact de sphères plurielles. Elle use de différents médiums – sculpture, photo, vidéo, dessin - pour interroger l’espace physique et son contenu superficiel fait d’artifices. Elle joue de l’environnement quotidien comme d’un décor. « Je cherche à créer une tension entre réalité et imaginaire, évoluant sur la frontière qui va du banal fabriqué au désenchantement masqué. J’offre au regardeur un univers quasi-semblable mais à observer sous un angle légèrement différent. »